Derrière la saga et la propagande des gueux illettrés et immigrées clandestins qui débarquent en loques sur le sol européen, le Pentagone et les marchands d’armes se préparent à vider le continent de toutes ses ressources naturelles et minières.
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La guerre chronique, maligne et secrète pour les ressources minières et naturelles est la raison principale pour laquelle l’Afrique subsaharienne a été et reste toujours asservie. Les Africains, éternels apatrides, tels des bâtards humains, condamnées à errer dans le monde entier en revendication perpétuelle de leur appartenance au genre humain.   

L’exclusion est souvent leur triste quotidien. Etrangers /isolés à vie, prêts à tout pour « s’intégrer ».

Les événements des réfugiés de Lampedusa, sur la côte italienne viennent encore distraire le monde de l’essentiel. Les nouvelles au sujet de la fuite des cerveaux des pays africains vers les pays occidentaux à la suite des coups d’état politiques et guerres tribales orchestrés par les anciennes colonies font rarement la une des journaux.

Les dés étaient déjà jetés depuis les accords de Breton Wood.  Théoriquement 44 pays étaient représentés avec les Etats-Unis et le Royaume-Uni comme acteurs principaux.

Le FMI et la Banque mondiale ont été créés par les accords de Bretton Woods (juillet 1944, New Hampshire, USA) suite à des discussions sur l’économie internationale après le désastre de la grande dépression des années 1930 et au naufrage de la Seconde Guerre mondiale.

La vision de l’institution est liée à un système de sécurité mondial. Pourtant, un rapport publié le 20 novembre 2014 par une commission sénatoriale du Congrès américain accusait les trois grands établissements de Wall Street de s’être « engagés dans des activités risquées » au détriment des industriels et des consommateurs.

John Pilger est l’un des journalistes d’investigation et réalisateurs de documentaires de renommée mondiale.
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Le vrai visage hideux de ce “Nouvel ordre économique” est longuement décrit par le journaliste d’investigation John Pilger dans son rapport spécial intitulé “War By Other Means”, du Français La guerre par d’autres moyens, publié le 20 avril 2012. Nous traduisons le texte de John Pilger comme suit :

Les États-Unis qui ont façonné « le nouvel ordre économique Mondial » à Bretton Woods en 1944, de sorte à avoir un accès illimité aux minérais, au pétrole, aux marchés et à une main-d’œuvre bon marché. La Banque mondiale et le Fonds monétaire international ont été inventés pour mettre en œuvre cette stratégie. Leur base est Washington, où ils sont reliés par un cordon ombilical au Trésor américain, à quelques dizaines de mètres. C’est là que la mondialisation de la pauvreté et l’utilisation de la dette comme arme de contrôle ont été conçues. Lorsque John Maynard Keynes, représentant britannique à Bretton Woods, proposa une taxe sur les pays créanciers afin d’empêcher les pays pauvres de s’endetter à perpétuité, les Américains lui dirent que s’il persistait, la Grande-Bretagne n’obtiendrait pas les prêts de guerre dont elle avait désespérément besoin. Plus d’un demi-siècle plus tard, le fossé entre les plus riches et les plus pauvres de l’humanité a doublé. 

La guerre chronique, maligne et secrète que l’Amérique et ses homologues occidentaux mènent à l’Afrique pour nourrir leur perpétuelle dépendance à la haute technologie ne figure dans aucun agenda médiatique.   

L’Amérique aurait l’intention d’envahir et de vider l’Afrique subsaharienne de ses ressources par l’intermédiaire du programme dit de « substitution secrète ».