Éducation – Rentrée scolaire et universitaire : éducation parentale et réseaux sociaux ! Quand les réseaux sociaux rivalisent avec les parcours professionnels traditionnels et classiques. Gagner de l’argent en créant du contenu sur les réseaux sociaux ou en accédant à des universités d’élite ? The Bridge Magazine montre à ses lecteurs les avantages et les inconvénients d’une célébrité éphémère, des corps de métiers imprévisibles et temporaires, et pourquoi l’école, l’université, les grandes écoles et ou une formation professionnelle classique garderont toujours leurs lettres de noblesse.
27 September 2023
15,108 views
3 Comments
Seulement quelques semaines depuis la rentrée scolaire, mais les petits jeunes vivent déjà la pression d’obtenir des résultats spectaculaires aux examens et concours d’entrée dans des grandes écoles pour garantir une carrière.
Pendant ce temps, un autre type de pression s’exerce sur ceux qui ont choisi comme parcours de carrière de gagner de l’argent sur les plateformes de réseaux sociaux en publiant des contenus : plus le nombre de vues est élevé, plus les chances de générer des revenus augmentent.
Le nombre de jeunes qui abandonnent leurs études à mi- chemin pour choisir comme carrière de rêve et ou emploi de base la création de contenu sur les réseaux sociaux fait froid dans le dos.
Une enquête récente aux États-Unis d’Amérique a révélé que « 54 % des 13 à 38 ans souhaitent devenir des influenceurs sur les réseaux sociaux, et une étude britannique a révélé que 30 % des enfants citent le métier de Youtubeur comme leur premier choix de carrière. »
Certains membres de gouvernements et politiciens dans le monde ont été prompts à reconnaître les activités de créateurs de contenus sur les réseaux sociaux comme une véritable profession.
Cependant, ils n’ont pas encore voté des lois dans le cadre de l’éducation (ni créé des organismes qui financent par le biais de prêts étudiants des formations des jeunes en tant que futurs créateurs de contenus). De nombreux créateurs de contenus sont des autodidactes.
Il existe un autre point de vue : on pense que les créateurs de contenus sur les réseaux sociaux ont été popularisés par des politiciens avides de militants et d’audience dans le monde entier.
Certains politiciens, pour auréoler leurs campagnes politiques, leurs agendas politiques, et pour empêcher d’autres enfants de rivaliser intellectuellement avec leur progéniture, ont été prompts à reconnaître les créateurs de contenus sur les réseaux sociaux comme véritable profession.
Pourtant, leurs propres enfants sont inscrits dans les universités les plus huppées du monde : les universités les plus prestigieuses qui forment l’élite mondiale aux frais d’inscription qui s’élèvent à plus de 100 000 dollars américains par an.
L’importance de l’éducation
Comme précédemment publié dans l’un de nos articles à succès sur l’éducation :
L’éducation est l’un des outils les plus puissants : elle va bien au-delà de l’obtention d’un diplôme, d’un emploi ou du rêve de briser le mythe de l’identité et de l’étiquette sociale.
L’éducation nous permet de faire la différence entre un compliment et une raillerie, si subtile soit elle.
L’éducation nous permet de respecter les autres même si nous ne les aimons pas forcément, de dire s’il vous plaît, désolé si vous avez heurté quelqu’un, merci ou non merci…
L’éducation nous permet de faire la différence entre un raticide et une épice ou un condiment. L’éducation permet de se débarrasser des chaînes invisibles et la liste ne saurait être exhaustive…
Le Quotient Intellectuel (QI) n’est pas gravé dans du marbre : il n’est pas figé. Il est la résultante continue d’une combinaison de circonstances et d’habitudes étalées sur le temps.
Selon une idée reçue, le cerveau se développe entre 5 et 12 et ans. Pour les chercheurs par contre, les modifications cérébrales les plus cruciales ont lieu pendant l’adolescence, et évoluent après la vingtaine.
Ceci est une matière à réflexion pour parents et précepteurs soucieux d’explorer et expérimenter d’autres alternatives capables d’assurer l’épanouissement scolaire et professionnel des enfants.
Les parents devraient investir dans l’alimentation, la nutrition et le cadre de vie de leurs enfants jusqu’à ce qu’ils atteignent 25 ans.
Il serait peut-être également temps pour les Gouvernements du monde entier de réglementer l’utilisation des réseaux sociaux pour les jeunes jusqu’à ce qu’ils atteignent une pleine capacité cérébrale, une complète maturité cérébrale.
On pense que les jeunes sont aujourd’hui prêts à tout pour monétiser leurs contenus sur les réseaux sociaux. Tout y passe ! Du langage ordurier au jargon à caractère sexuellement explicite en passant par un style vestimentaire criard et frivole pour communiquer… Plusieurs jeunes subissent une chirurgie plastique pour parfaire leur apparence physique afin d’arborer des tenues très échancrées et très osées.
Certains renforcent le mascara, publient leur nudité, pour booster les vues et les partages. Même si certains peuvent réellement monétiser leur contenu, les jeunes DEVRAIENT comprendre que pour des corps de métiers traditionnels et classiques à long terme, 6 emplois sur 7 nécessitent et exigent un peu plus qu’une beauté physique.
Pour aller jusqu’au bout de la métaphore, la beauté physique reste un accessoire et ne saurait être l’unique critère pour accéder à certaines professions. Peu importe : que vous ayez un physique naturellement ou chirurgicalement attrayant, 6 métiers sur 7 nécessitent et exigent un mérite académique ou une formation individuelle basée sur vos compétences professionnelles.
L’ironie du sort réside dans le fait que des percées médicales en chirurgie plastique sur l’altération du cerveau humain ont encore des preuves à faire.
Il n’y a pas encore de neurochirurgien du cerveau capable d’effectuer une intervention chirurgicale sur le cerveau humain pour augmenter les performances du Quotient Intellectuel Humain.
L’amélioration individuelle du quotient intellectuel peut uniquement s’acquérir par la constance d’un travail acharné, méthodique et cohérent le tout dans un bon environnement d’études.
Au cœur d’une crise du coût de la vie qui perdure, plusieurs personnes ont recours à d’autres moyens alternatifs pour gagner de l’argent.
La création de contenu est une alternative mieux connue des jeunes. Internet a facilité l’accès à un vaste marché mondial par le biais de diverses plateformes de réseaux sociaux.
Dans le cadre de la course effrénée pour gagner de l’argent à travers leur contenu en ligne, certains jeunes et adultes des réseaux sociaux choisissent délibérément se déshabiller pour travailler plutôt que de travailler habillés (es) ou travailler pour mieux s’habiller.
Les statistiques montrent que plus de 2 millions de créateurs de contenus dans le monde ont un revenu à six chiffres grâce seulement à la création de contenu. Pas étonnant que les petits (tes) jeunes disent rêver de devenir des stars de YouTube/Vlogger, rêver être des célébrités d’Instagram…
De nombreux parents ont même oublié le parcours classique de leurs devoirs et obligations parentales.
Que sont les encadrements préscolaires devenus ?
Plutôt que d’acheter des DVD d’alphabet phonétique, de comptines classiques pour la petite enfance, d’apprendre à compter, à nommer les formes et les couleurs aux tout-petits, (toutes-petites), afin de préparer et équiper efficacement les enfants à la dure réalité des parcours de crèche, petite et grande maternelle, primaire … et ou les bases essentielles pour embrasser la vie quotidienne.
Certains parents bornés et ou naïfs ont été tellement aveuglés par les prétendus revenus à 6 chiffres que certains gagnent par le biais de leurs contenus sur les réseaux sociaux ; qu’ils ont mis en péril les étapes cruciales et indispensables de l’apprentissage précoce et de la formation à la maison de leurs bébés et jeunes enfants.
Certains parents sont pressés d’exhiber, 24 heures sur 24, sept jours sur sept, des photos, des vidéos de leurs enfants dansant, chantant et racontant à longueur de journée des histoires à dormir debout : avec des carences graves en vocabulaire, en grammaire, des fautes criardes de diction, de syntaxe , pour ne citer que quelques exemples.
RÉGLEMENTATION URGENTE DES RÉSAUX SOCIAUX POUR UN ROBUSTE SYSTÈME GLOBAL DE SÉCURITÉ ET DE PROTECTION INFANTILE.
Lorsque les parents, par ivresse narcissique ou pour gagner de l’argent identifient les enfants en uniformes scolaires, dans les réseaux sociaux, avec les adresses des écoles, noms des rues, codes postaux, dans toute leur intégralité, les heures d’ouverture et fermeture des classes, il devient URGENT pour le législateur d’intervenir pour réglementer l’usage des réseaux sociaux afin de protéger les enfants.
Ces photos et vidéos d’enfants publiées avec adresses des écoles, des crèches et mêmes parfois des rues des maisons sur les réseaux sociaux totalisent des millions de vues, de likes, love, et bookmarks (des millions de j’aime, j’adore, et de sauvegarde comme favoris dans le monde entier). Le problème c’est qu’il n’y a AUCUNE garantie que tous ceux et celles qui regardent ces images et vidéos ou qui les sauvegardent, le font uniquement dans un but de s’inspirer des prouesses académiques des enfants, de leurs styles vestimentaires, ou de partager leur joie.
Vérités hideuses et cachées des rudes réalités du ‘métier’ d’ambassadeurs de marques pour les créateurs de contenus des réseaux sociaux du monde entier.
Même si quelques ambassadeurs (drices) des marques peuvent gagner de l’argent grâce au contenu qu’ils (elles) créent sur les réseaux sociaux, on pense que la réalité dans son ensemble n’est qu’un mirage.
Certaines entreprises auraient payé leurs ambassadeurs (drices) en cadeaux tels que des vêtements, des sacs à main… des vacances (pour les plus chanceux). L’ironie est qu’aucun propriétaire d’appartement n’est prêt à échanger le loyer mensuel contre des robes de luxe, des vêtements, des chaussures, des ceintures, des sous-vêtements, de la lingerie en dentelle, des marques de maquillage… Du moins PAS ENCORE.
Certaines entreprises peuvent également être mises en liquidation et les ambassadeurs (drices) qui représentent ces marques peuvent sérieusement paniquer. Soit parce qu’ils (elles) n’avaient pas de plan B prévu comme alternative de source de revenu, soit parce que leur ‘métier’ pourrait être irrémédiablement compromis puisque ne tenant désormais qu’à un fil.
Si la nouvelle entreprise sollicitée par un créateur de contenu est une entreprise rivale à l’entreprise précédente qui l’a mis au chômage après dépôt de bilan, c’est là que réside le problème : d’où la précarité du ‘métier’. Métaphoriquement, les jeunes ambassadeurs de marques jouent avec le feu.
Dans un monde plus contemporain et plus réaliste, pour signer un contrat d’ambassadeur (drice) pour des marques de luxe bien établies, les critères de sélections des entreprises vont au-delà de la barre de sélection des stars des réseaux sociaux.
À moins d’avoir déjà atteint le niveau de popularité des célébrités de la liste A comme Denzel Washington et ou Julia Roberts, les marques de luxe bien établies ne seraient pas inclinées à signer des accords de partenariat avec des « créateurs (trices) de contenus » sur les réseaux sociaux. Car cela ne leur apportera sans doute jamais le même niveau de publicité, que ce soit en notoriété ou en revenus.
A quel saint se vouer lorsque la culture des réseaux sociaux devient un frein à l’éducation des jeunes au Royaume-Uni et dans le monde entier ?
Dépendance, cyberintimidation, mauvaise estime de soi, pression sociale…
Quand les humains deviennent de plus en plus physiquement beaux au fil des générations, comme une espèce d’évolution, de l’Homo sapiens, avoir pour unique métier de rêve créateur de contenu est très risqué.
De nos jours avec le brassage de cultures et des humains, naissent de différents types de spécimens de beauté et de cultures à travers le monde.
Les normes de beauté humaine deviennent en grande partie culturelles et non liées à notre biologie uniquement. Avec des accessoires contemporains de beauté, personne n’est moins beau ni moins belle. D’où la précarité des métiers qui se basent sur (le culte du beau) des métiers liés uniquement à une belle apparence physique.
Le plus tôt sera le mieux que les jeunes et certains parents comprennent qu’une apparence physique attrayante n’a jamais été et ne sera jamais l’unique argument d’aptitude professionnelle pour une carrière sûre à long terme.
Sauver la jeunesse en désarroi qui s’appuie sur des frivolités esthétiques basées sur les tendances éphémères (comme un corps parfait de plage, des vêtements et accessoires de luxe dans un contexte et un décor somptueux de vacances et loisirs) devrait être la priorité des parents, tuteurs (trices) et des Ministères de l’Éducation et de la Jeunesse des pays du monde entier.
La cyberviolence et la cyberintimidation détruisent la jeunesse du monde entier.
La cyberviolence et la cyberintimidation peuvent atteindre un vaste public en quelques secondes et détruire les enfants impliqués qui refusent de se confier aux parents.
Ces formes de violence : (menaces et intimidation, harcèlement et harcèlement criminel, diffamation, le rejet et l’exclusion, identifier le vol, l’usurpation d’identité…) peuvent se produire par texte, courrier électronique, sur les réseaux sociaux et les plateformes de jeux.
La cyberviolence se traduit par des modifications, des manipulations et publications des photos d’une personne ou de plusieurs personnes sans son ou leur consentement.
Par la diffusion de nouvelles mensongères, des dénonciations ou de calomnies monstrueuses pour avilir les autres.
Le dictionnaire en ligne définit le « happy slapping » comme (l’acte de violence provoqué, filmé et diffusé), diffusion d’images à caractère pornographique, usurpation d’identité, violation de l’identité, menaces ou diffamation.
Il se manifeste par l’utilisation, des ordinateurs, des téléphones ou autres appareils connectés pour humilier, blesser, se moquer, menacer ou être méchant envers une personne, des personnes ou une communauté en ligne.
Le saviez- vous ?
On pense que l’idéal serait d’utiliser les réseaux sociaux avec modération : à temps partiel et non à plein temps, car il a été scientifiquement prouvé que les réseaux sociaux ont des effets physiologiques négatifs sur les humains.
Des études récentes ont établi un lien étroit entre l’utilisation des réseaux sociaux et l’apparition de symptômes dépressifs.
Les réseaux sociaux incitent les adolescents, jeunes adultes, parents et ou tuteurs à se comparer : les échecs ou la stagnation des affaires ou du succès scolaire de certains par rapport aux autres fragiliseraient leur estime de soi.
Selon le Dr Vivek Murphy, les jeunes filles pourraient être encore plus vulnérables aux plateformes des réseaux sociaux.
Des statistiques récentes révèlent que les suicides d’adolescentes ont atteint un sommet en 40 ans en 2015. Les chercheurs ont lié plusieurs aspects de l’utilisation des réseaux sociaux à la dépression et à un risque de suicide plus élevé. Le premier est la surutilisation…
Selon les statistiques, une consommation malsaine de certaines plateformes de réseaux sociaux peut avoir de graves conséquences sur la santé des personnes épileptiques : car « l’exposition à des vidéos contenant des lumières, des effets visuels clignotantes à certaines intensités peuvent déclencher des convulsions ou des crises d’épilepsie. »
Les études de l’autorité de santé : Dr Surgeon General,Vivek Murthy, dans le cadre de la protection infantile en ligne.
Le Dr Vivek Murthy est le célèbre chirurgien général administrateur de la santé publique des États-Unis d’Amérique.
Dans le but de créer un environnement sûr et plus sain en ligne, de maximiser les avantages et minimiser les méfaits des réseaux sociaux, le Dr Vivek Murthy, a publié une étude sur les effets de l’utilisation des réseaux sociaux sur la santé mentale des jeunes.
Des recherches récentes montrent que les adolescents qui passent plus de trois heures par jour sur les réseaux sociaux courent deux fois plus de risques de souffrir de problèmes de développement du cerveau affectant les zones d’apprentissage émotionnel, troubles comportementaux ou alimentaires, ou encore problèmes d’image de soi, de problèmes de santé mentale, tels que des symptômes de dépression et d’anxiété pouvant avoir des conséquences dramatiques allant jusqu’au suicide.
Selon une étude publiée par le Dr Vivek Murthy, l’adolescence et l’enfance représentent une étape critique du développement cérébral. Ceci peut rendre les jeunes plus vulnérables aux réseaux sociaux. Selon le rapport, 46% des adolescents âgés de 13 à 17 ans indiquent que plus ils utilisent les réseaux sociaux numériques plus ils deviennent anxieux et dépressifs.
Le Dr Murthy lance une alerte concernant les dangers possibles des réseaux sociaux , il lance un vibrant appel à une action urgente de la part des décideurs politiques, des entreprises technologiques, des chercheurs, des familles et des jeunes ,pour les inciter à mieux appréhender l’impact profond de l’utilisation des réseaux sociaux.
Le Dr Surgeon General, Murthy invite urgemment à maximiser les avantages et minimiser les méfaits du mauvais usage des réseaux sociaux, à créer des environnements en ligne plus sûrs et plus sains pour protéger les enfants.
Vers une réglementation du métier de créateur de contenu sur les réseaux sociaux : pour la protection de l’enfance, des jeunes, et sauver les jeunes adultes et les familles en perdition.
Au cours des dernières années, les créateurs de contenus sur les réseaux sociaux ont été accusés de gagner de l’argent sur la misère des autres.
Tous les coups sont permis pour créer l’engagement des internautes afin de maximiser et booster le nombre de vues et de partages de posts et de vidéos. Pour monétiser les pages, certains créateurs de contenus inventent des histoires politiques vulgaires à vous couper le souffle ; manquent de respect aux familles, aux citoyens, aux collègues, amis (ies) aux autorités politiques et administratives, aux institutions étatiques, aux membres des Gouvernements.
Les scandales amoureux et les mauvaises fortunes des familles sont publiés et partagés à la vitesse de l’éclair. Le seuil du sens de la démesure et de l ‘exagération que se fixent de nombreux créateurs de contenus sur les réseaux dépasse l’entendement humain.
La culture du « Kiss and tell » pour générer des revenus devient usuelle. Le « Kiss and tell » est une expression britannique qui désigne la pratique de raconter sur les réseaux sociaux, à se faire de l’argent en faisant chanter des célébrités avec qui on a un flirt d’un soir, ou à monnayer aux médias grand public ses aventures amoureuses avec des personnes célèbres pour attirer des téléspectateurs ou accroître son audience et ou sa visibilité sur les réseaux sociaux.
Il a été également prouvé que l’utilisation abusive des réseaux sociaux affecte considérablement les résultats scolaires.
Les réseaux sociaux ont des propriétés addictives : une étude récente analysant la relation entre la dépendance aux réseaux sociaux et les résultats scolaires a révélé que les étudiants accros aux réseaux sociaux avaient des résultats et performances scolaires nettement inférieurs, à ceux des étudiants (tes) qui n’étaient pas accros aux réseaux sociaux. Depuis plusieurs années, les chercheurs ont découvert que les réseaux sociaux pouvaient avoir des propriétés addictives similaires à celles des drogues.
Les réseaux sociaux agissent comme un distributeur de PEZ : dans ce cas, sauf qu’au lieu de nourrir du sucre, ils nourrissent de la dopamine.
Tout comme avec le sucre, une fois que vous l’avez, vous en voulez plus. Et lorsque vous ne l’avez pas, vous pouvez subir un « crash » ou un sevrage et la dépendance peut gravement affecter vos résultats scolaires.
Le Royaume-Uni a déjà voté des lois qui fournissent un guide pour le projet de loi sur la sécurité en ligne, le dernier en date ayant été mis à jour en août 2023. Le projet de loi britannique sur la sécurité en ligne est un nouvel ensemble de lois qui visent à protéger les enfants et les adultes en ligne. Cela rendra les plateformes de réseaux sociaux plus responsables de la sécurité de leurs utilisateurs.
The Bridge Magazine espère que les pays du monde entier adopteront des projets de lois protégeant les enfants sur les réseaux sociaux. Que les pays du monde entier suivront l’exemple du Royaume-Uni et voteront des lois réglementant le métier de créateur de contenu sur les réseaux sociaux, afin de veiller à la sécurité des enfants, des jeunes adultes et de protéger efficacement les populations du monde entier.
Dans la continuité de la célébration du 11e Anniversaire de The Bridge Magazine et de la mise à jour de la publication de la série des livres The Bridge Books ; Rachel Tcheungna annonce le total de la série de ses livres publiés à 23 livres éducatifs, en versions anglaise et française désormais disponibles pour une distribution mondiale.
Suivez les liens ci-dessous pour vous procurer un ou plusieurs livres de la série The Bridge Books.
1) De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/de-l-actualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-gz2n65.html?page=1&pageSize=4
2) Beauté, Santé et Bien être De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/beauté-santé-et-bien-être-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-2n6pn4.html?page=1&pageSize=4
3) Éducation De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/éducation-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-rkn5eq.html?page=1&pageSize=4
4) Amour et relation De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/amour-et-relation-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-zn2674.html?page=1&pageSize=4
5) Crimes réels et prévention De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/crimes-réels-et-prévention-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-j85zzr.html?page=1&pageSize=4
6) Économie et investissement De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/économie-et-investissement-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-pmdvgg.html?page=1&pageSize=4
7) Des Nouvelles ‘Soft & Hard’ De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/des-nouvelles-soft-hard-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-684p9g.html?page=1&pageSize=4
8) Contes et légendes aux dénouements atypiques. De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/contes-et-légendes-aux-dénouements-atypiques-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-9vmn7v.html?page=1&pageSize=4
9) High-Profile People_ Version Française De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/high-profile-people_-version-française-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-75k544.html?page=1&pageSize=4
10) Arts et culture De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/arts-et-culture-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-q7646z.html?page=1&pageSize=4
11) Politique Mondiale De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.
https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/politique-mondiale-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-yq9qer.html?page=1&pageSize=4
Rachel Tcheungna : Auteure,
Ecrivaine de The Bridge Books et
Editrice de The Bridge Magazine
Chers tous, chères toutes,
Un immense merci pour tous vos commentaires et mots d’encouragement que je reçois tous les jours concernant mes articles. C’est fort apprécié.
Juste pour vous dire : si je ne réponds pas à vos commentaires individuellement, c’est parce qu’il y a une avalanche de milliers de commentaires au quotidien dans mon tableau de bord. Je vous rassure que je vois toutes vos mises à jour et tous vos commentaires et nous, l’équipe de The Bridge Magazine ?️? vous en sommes éternellement reconnaissants.
Bien cordialement,
L’Éditrice?️?
Rachel Tcheungna ??♀️
Dear All,
Education – Back to school: parental education and social networks! When social networks compete with traditional and classic career paths. Earning money by creating content on social networks or accessing elite universities? The Bridge Magazine ?️? shows to its readers the advantages and drawbacks of ephemeral fame/short term unpredictable job titles and why school, university and or classic professional training will always hold its patents of nobility.
It is believed social media content creators have been popularised by politicians craving for views and for an audience worldwide. Some politicians, to keep up with their political campaign and agendas and to prevent other kids competing with their offspring, were prompt to recognise and acknowledge social media content creators as a profession whilst their own children are enrolled in the best elite universities worldwide with fees able to reach over 100 000 US Dollars per year…
Kind Regards,
The Editor?️?
Rachel Tcheungna ??♀️
Chers tous, chères toutes,
Éducation – Rentrée scolaire et universitaire : éducation parentale et réseaux sociaux ! Quand les réseaux sociaux rivalisent avec les parcours professionnels traditionnels et classiques. Gagner de l’argent en créant du contenu sur les réseaux sociaux ou en accédant à des universités d’élite ? The Bridge Magazine ?️? montre à ses lecteurs les avantages et les inconvénients d’une célébrité éphémère, des corps de métiers imprévisibles et temporaires, et pourquoi l’école, l’université, les grandes écoles et ou une formation professionnelle classique garderont toujours leurs lettres de noblesse.
On pense que les créateurs de contenus sur les réseaux sociaux ont été popularisés par des politiciens avides de militants et d’audience dans le monde entier. Certains politiciens, pour auréoler leurs campagnes politiques, leurs agendas politiques, et pour empêcher d’autres enfants de rivaliser intellectuellement avec leur progéniture, ont été prompts à reconnaître les créateurs de contenus sur les réseaux sociaux comme véritable profession. Pourtant, leurs propres enfants sont inscrits dans les universités les plus huppées du monde : les universités les plus prestigieuses qui forment l’élite mondiale aux frais d’inscription qui s’élèvent à plus de 100 000 dollars américains par an…
Bien cordialement,
L’Éditrice?️?
Rachel Tcheungna ??♀️