C’est avec une grande tristesse que notre éditorial découvre que l’industrie cinématographique est devenue un art en voie de disparition à une époque où elle devrait être considérée comme l’épine dorsale de la culture générale à travers le monde.

 

C’est dommage qu’il y ait une pénurie de films classiques, de chefs-d’œuvre emblématiques et de profondeur dans la structure créative et les compétences cinématographiques mises en œuvre dans la société.

 

Surtout qu’au-delà de son utilité dans la rubrique des divertissements et loisirs, l’industrie cinématographique joue un rôle complémentaire crucial dans le façonnement des personnalités : de la jeunesse et de l’âge adulte, de l’éducation, du comportement et du savoir-vivre des humains.

 

Que sont les films classiques devenus ? Les films du genre : Proposition Indécente ? Pretty Woman, The Omen du Français ( Damien, la malédiction I, II, III) ou American Gangster ?

 

Joseph Bédier a dit un jour : « Le cinéma c’est un œil ouvert sur le monde. »

 

Bédier était un historien médiéval Français (né en 1864 à Paris – décédé en 1938 au Grand-Serre, France). Il était également un érudit dont les travaux apportaient une contribution inestimable à l’étude de la littérature médiévale.

 

Cette saison, dans sa catégorie Art et Culture, The Bridge Magazine rend hommage au cinéma et sensibilise sur son importance capitale, sur sa contribution au patrimoine humain.

 

Notre éditorial montre aux lecteurs comment, en transcrivant des problèmes réels de la vie des humains sur écran, les films classiques ont façonné la conscience humaine et continuent de le faire sur tous les sujets.

 

 

Ils décrivent les luttes, les triomphes ou les défis que les individus ou les communautés peuvent rencontrer dans leur vie réelle.

 

C’est ainsi que les spectateurs, tel devant un miroir, peuvent imaginer, refléter/faire un rapprochement de l’écran à leur vraie vie. 

 

 

Les spectateurs (peuvent avoir le reflet de l’instant présent, d’un futur proche ou lointain semblable à leur propre expérience. Ils ou elles peuvent prédire ou empêcher d’être de prochaines victimes des événements malheureux à venir.

 

La représentation des problèmes de la vie réelle à l’écran par le biais des films classiques permet au public d’interagir avec diverses perspectives, les inspirant : professionnellement, socialement, leur permettant de devenir soit plus ambitieux, optimistes, pessimistes, prudents (es), ouverts (es)  d’esprit, réservés,(ées), sages, critiques, résignés, (ées,  ) aimants (es) … ou de réévaluer leur propres croyances et préjugés.

 

 

On pense que les premières histoires jamais racontées par les humains remontent sur les parois des grottes il y a 2,5 millions d’années, à l’époque paléolithique.

 

Pour ces premiers Homosapiens, les grottes étaient leur toile, et ils n’avaient aucune idée de ce que pourrait devenir l’avenir de la toile.

 

Avec l’invention de la narration visuelle, apparaît une volonté de réinterpréter la vie à travers l’abstraction qui donne vie à un élément transcendantal pour donner un sens à notre existence.

 

Le genre de narration a évolué au fil des siècles et continue de le faire : de la manipulation des images d’ombres de silhouettes aux projections montrées par le biais d’ une lanterne magique.

De nombreux appareils et techniques introduits aux XVIIIe et XIXe ont été utilisés par les pionniers du cinéma.

 

 

L’industrie cinématographique a radicalement changé après la Seconde Guerre mondiale, modifiant ainsi le style et le contenu des films réalisés à Hollywood.

 

Après avoir connu ses périodes de boom de 1939 à 1946, l’industrie cinématographique a commencé à s’effondrer et en sept ans, la fréquentation et les recettes des salles de cinéma grand écran ont chutées de moitié de leurs niveaux de 1946.

On pense que l’âge d’or de Hollywood est devenu sombre en 1948 et a pris fin dans les années 1960.

 

L’historique de la percée cinématographique…

 

 

En France, deux frères parisiens, Auguste (1862-1954) et Louis (1864-1948) LUMIÈRE, ont œuvré pour changer radicalement le milieu du cinéma à l’échelle mondiale.

 

Les deux frères travaillaient pour l’entreprise de matériel photographique de leur père.

 

En 1894, les deux frères devenus ingénieurs, inventent une caméra appelée cinématographe pouvant servir de projecteur sur écran. 

 

Les frères LUMIÈRE, se sont appuyés sur l’invention du kinétographe des laboratoires d’Edison, un autre pionnier, pour améliorer la conception originale en corrigeant plusieurs défauts.

 

Ce faisant, permettant des images plus précises et un meilleur éclairage. Contrairement au kinétoscope, les cinématographes LUMIÈRE pourraient alors projeter une image sur un grand écran, suffisamment grand pour rassembler des personnes dans de grandes salles à travers le monde et permettre à de nombreuses personnes de visualiser simultanément des images, contrairement à une seule personne.

 

Leur invention parcourrait avec succès le monde entier, séduisant le public indépendamment de la race, de la culture, de l’écart d’âge ou de la distance géographique.

 

Suite à leur première projection en 1895 avec un de leurs courts métrages intitulé Salon Indien du Grand Café à Paris.  Le rapport entre l’éclairage et l’ombre était parfait, la clarté du film n’était plus un mirage mais une réalité.

 

Les frères LUMIÈRE ont présenté leurs films d’une manière qui semble performative. Ainsi, l’Europe est présentée comme la vision la plus expérimentale du cinéma.

Tout dans le cinéma découle de ces inventions et depuis lors le cinéma n’a cessé d’évoluer. Les nouvelles technologies telles que les effets spéciaux sont devenues courantes, entraînant des progrès dans les films d’animation.

 

 

Inventé en 1911 comme le 7ème Art par le théoricien italien du cinéma Ricciotto Canudo (1877-1923) :

annonçant que la réalisation cinématographique était un nouvel art qui méritait d’être classé parmi les traditions les plus établies et les plus réputées telles que l’architecture, la sculpture, la peinture…la musique, la poésie et la danse.

 

Les films classiques incarnent un sentiment d’émerveillement qui crée des frissons dans le dos et un attachement à des personnages complexes.

 

Le cinéma est devenu une passion pour beaucoup.

 

Dans les années 1950 en Europe, les idées révolutionnaires et les mouvements artistiques tels que le néoréalisme italien et la Nouvelle Vague française ont donné naissance à la cinéphilie.

 

Avant cette époque, la manière hollywoodienne de filmer dominait le marché de la fin des années 1920 aux années 1960.

 

 

 

Pourquoi l’industrie cinématographique peut-elle être considérée comme un art en voie de disparition ?

 

Avec l’avènement de la télévision et du streaming, Netflix est intervenu alors que les ventes de billets de films classiques diminuaient progressivement, permettant à certains des films Netflix de se qualifier pour les Oscars.

 

De nombreux autres grands studios et sociétés de médias ont suivi en lançant leurs propres services de streaming à une époque de contenu définie par son besoin pressant de gain économique plutôt que par la promotion et l’encouragement du Grand Art.

 

L’impact culturel des images en mouvement en tant que moyen de divertissement, qu’il s’agisse de films, de télévision, de vidéos YouTube ou de Tik-Toks, est très demandé.

 

Les mêmes éléments qui tuent le cinéma permettent également aux nouvelles générations de découvrir le cinéma. Et pour ceux qui s’intéressent à l’art et à l’histoire du cinéma, ils vivent désormais à une époque d’accès sans précédent.

 

 

Le cinéma avait atteint son apogée à cette époque.

Alors que l’industrie cinématographique est désormais en concurrence avec les séries télévisées, les courts métrages, les réseaux sociaux, YouTube et les podcasts.

 

C’est pourquoi l’industrie cinématographique peut être considérée comme un art en voie de disparition.  

 

 

Il y a un manque réel : d’appréciation, de développement cérébral crucial, des perspectives fructueuses et des perspectives différentes sur des contextes et des sujets tels que la foule, l’horreur, la romance, la mafia, l’amour, l’aventure, le monde des affaires…

 

 

Le manque de financement comme l’une des causes du déclin du 7^e Art ?

 

 

La réalisation et la production des films classiques emblématiques est en train de devenir un métier perdu, car les réalisateurs et les maquilleurs sont de moins en moins enclins à se consacrer à leur métier et à leur vocation de traduire visuellement l’art au public.

 

Cela pose la question de savoir s’il y a une carence de financement pour des études liées au 7^e Art dans les universités et grandes écoles de formation de théâtre.

 

Un manque de financement par rapport à d’autres disciplines où des mises à jour de financement des gouvernements et mécènes sont fréquentes ; entre autres :  des études de sciences, de littérature, de droit, de journalisme, de sport…le manque potentiel d’investissements importants pour des études d’arts et de cinéma   provoquent un faible taux de réussite dans les filières d’art et de cinéma.

 

En outre, le manque d’étudiants (es) dévoués (es) et doués (es) enclins à postuler à des cours d’arts, en raison du manque d’investissements importants, dans le domaine des arts et de l’industrie cinématographique nuit à l’essor et à la pérennité du cinéma classique.

 

Le monde contemporain a de plus en plus besoin des études aux termes desquelles les professionnels du cinéma maitrisent les techniques d’un plan de caméra, des angles, des acteurs, des maquilleurs, des interprètes…

 

 

En outre, les étudiants (es), doués (es), dévoués (es) dans le domaine des films et des arts ont peur du faible taux de réussite et de recrutements lors des demandes d’emploi.

 

Grande est leur peur, tant ils ou elles redoutent de ne pas être reconnus (ues ) comme de véritables et talentueux acteurs ou actrices du grand  écran pleinement accomplis (ies).

À la lumière des précédents pionniers (nières) bien connus (ues) du cinéma classique.

 

Le déclin du cinéma classique éloigne beaucoup de personnes de leur don naturel, don qui restera à jamais caché à moins qu’ils ou qu’elles ne fréquentent des écoles de théâtre et de cinéma renommées pour faire éclore et libérer leur génie créateur d’acteur ou d’actrice.

 

Notre ÈRE a besoin de plus en plus d’acteurs et d’actrices authentiques :de vrais acteurs et vraies actrices qui ont pu acquérir des compétences professionnelles dans leur domaine. Des acteurs et actrices qui ont fréquenté des écoles de cinéma et de théâtre appropriées et de haut vol où des humains sont professionnellement équipés pour être très compétents afin de transcender et transcrire un rôle/un personnage sur un écran de cinéma pour l’intérêt de la société.

 

L’importance des films classiques

 

D’un point de vue culturel, en quelques heures d’un grand film ou d’un film classique, le spectateur ou la spectatrice se retrouve toujours muni (e) de l’expérience d’une personne qui a pu acquérir une série d’expériences de vie, d’expériences de voyage à travers les six continents.  

 

Une expérience inestimable acquise par quelqu’un qui a voyagé dans plusieurs pays ou traversé plusieurs différentes époques, mais tout cela contracté dans un laps de temps précis : en quelques heures, sur écran cinéma.

 

L’industrie cinématographique, notamment le cinéma, et le cinéma classique et emblématique gardent leurs lettres de noblesse. Par exemple, le public peut apprendre en peu de temps des choses que les autres spectateurs et lecteurs ne comprendraient pas aussi rapidement que s’ils allaient voir un film.

 

Par exemple, les films nous ramènent à une époque spécifique, dont nous, les humains, ne pouvons pas nécessairement apprendre, où une époque que nous ne pouvons plus vivre en vraie vie   par les voyages.

 

Le cinéma nous permet de voyager dans le temps et dans l’espace : de faire le chemin à l’envers, en arrière, dans le sens contraire des aiguilles d’une montre.

 

La magie de vivre et d’appréhender des repères spatio-temporels, ces marqueurs qui permettent aux cinéphiles qui n’ont pas la patience de lire plus de 100 pages d’un livre pour comprendre une époque, une leçon de vie, une morale, une énigme.

 

 

Un autre avantage du public bénéficiant des films classiques emblématiques est qu’il apprend des choses que leurs connaissances qui n’ont lu que des livres n’auront pas compris aussi rapidement ou aussi efficacement qu’une représentation visuelle d’une adaptation de livre.

 

 

 

Retrouvez ci-dessous quelques films classiques que nos analyses éditoriales résument pour faire ressortir globalement, leurs aspects culturel, pédagogique, ainsi que les leçons de vie importantes qu’ils véhiculent …

 

 

Notre éditorial sélectionne les films classiques suivants parmi une myriade de cette époque pour des raisons suivantes : des expériences et scènes traduisant des perspectives hautement éducatives, artistiques qui changent la vie.

Sans ignorer les remarquables plans de caméra, les images, les couleurs, les images sensorielles les effets spéciaux et bandes sonores de films.

 

Les films que The Bridge Magazine sélectionne regorgent d’acteurs talentueux qui ont réussi par le biais de leurs émotions, à transmettre le message à travers l’écran avec notamment : la peur, le ressentiment, la colère, l’allégresse, l’arrogance, la ruse, la méchanceté, la gentillesse, l’amour, la romance, la bestialité, un tout en un pour réaliser des films remarquables.

 

 

Proposition indécente : (quand la naïveté d’une femme, l’arrogance d’un homme riche manipulateur, et rusé, la paresse, l’insouciance d’un mari et l’éthique se heurtent).

 

 

Le film illustre les difficultés et les dilemmes auxquels les mariages sont confrontés, l’hypocrisie de certains hommes, comment ils n’apprécient leur véritable amour qu’une fois qu’elles sont entre les mains d’un autre homme.

 

Comment l’argent a corrompu le véritable amour, le manque de dignité de ceux qui vendent spontanément leur Amour, celles ou ceux qu’ils aiment pour de l’argent en mettant un prix sur leur mariage.

 

 

Proposition Indécente met en lumière des questions à la fois existentielles et éthiques :

 

 

 

Combien quelqu’un devrait-il vous payer pour faire quelque chose qui allait à l’encontre de votre code moral ?

Le film dramatique érotique américain de 1993

 

« Proposition Indécente » explore le concept du prix (au sens propre comme au sens figuré du terme) qu’un être humain est prêt à payer : le compromis qu’il ferait pour obtenir quelque chose qu’il veut. Quel que soit son code moral initial.

 

 

Un film dramatique érotique américain mettant en vedette des célébrités du cinéma hollywoodien de haute performance.

 

Woody Harrelson dans le rôle de David Murphy, alias le mari de Diana

 

Demi Moore dans le rôle de Diana Murphy

 

Robert Redford dans le rôle de John Gage le milliardaire

 

Woody Harrelson, Robert Redford et Demi Moore sont les personnages principaux qui ont donné vie au génie créateur de la scénariste Amy Holden Jones.

 

Proposition Indécente explore jusqu’où certains humains peuvent devenir abusifs : une fois qu’ils sont financièrement riches, ils peuvent tromper impunément autrui ou abuser des autres en s’amusant : -Même dans un contrat ! (La pièce de M. Gage n’a jamais été à double face depuis le début, – ceci à l’insu de Diana, alias Mme Murphy !!  Le jeu était truffé d’avance).

 

 

Certains humains financièrement riches ne respectent jamais leurs paroles ni les termes et conditions d’un contrat:

 

(M. Gage n’a pas respecté sa promesse – après avoir couché avec Diana, il a continué à convoiter  le million de dollars – est allé jusqu’à acheter la propriété de leurs rêves – par des moyens illégaux et frauduleux, violant les  clauses confidentielles… – selon les clauses du contrat initial, le million de dollars était destiné à aider financièrement le couple,  pas à transformer  leur  vie en véritable  cauchemar : un imbroglio cousu de scènes de ménage.

 

Dans le film, M. Gage obtient l’objet de son affection, mais les dégâts ont été causés et la situation irrémédiablement compromise, comme dans la plupart des entreprises à connotations de proxénétisme transactionnelles sexuelles. La confiance, le mariage et les codes moraux brisés.

 

 

La morale derrière Proposition Indécente

 

Qu’est-ce qui fait de Proposition Indécente un film classique ?

Le point de bascule dans Proposition Indécente…

Ceux qui ont regardé Le Parrain se souviennent que malgré la richesse affichée tout au long de la Trilogie elle s’est terminée par le chaos, l’échec, la trahison…

 

Pretty Woman (Quand une jeune femme, belle, dont les parents n’étaient pas en mesure de subvenir aux études, se retrouve à braver la vie nocturne du boulevard Hollywoodien, à errer dans les rues d’Hollywood pour joindre les deux bouts jusqu’à ce que… sa vie misérable se transforme en véritable conte de fées).

 

 

Réalisée par Garry Marshall, la comédie romantique mettait en vedette Julia Roberts dans le rôle de Vivian Ward.  

 

Une fille de Géorgie décrocheuse de 11e année qui vit dans un flophouse avec Kit (Laura San Giacomo).  

 

Kit, la meilleure amie de Vivian est représentée dans le film comme le gourou de la prostitution de Vivian Ward et Richard Gere dans le rôle d’Edward Lewis, un riche actionnaire.

 

 

Il s’agit de la relation entre une prostituée de Los Angeles Vivian Ward et Edward Lewis, le fils unique et héritier de son défunt père milliardaire.

 

Vivian Ward n’a jamais été impliquée dans le trafic de drogue et n’a jamais eu à faire à un proxénète auparavant.

Après avoir passé une semaine au Beverly Wilshire hotel avec un riche client : Edward Lewis, elle finit par trouver le véritable amour.

 

 

La morale derrière Pretty Woman

 

 

La comédie romantique Pretty Woman est en effet devenue et reste un classique du vestiaire glamour à la musique haut de gamme, en passant par les goûts luxueux et les lieux huppés.

 

Le film explore plusieurs thèmes : de l’amour, de la romance, du flirt et de l’amour, des rapports sexuels sans langage ordurier ni vulgarité. Le film met en exergue des difficultés que rencontrent des prostituées, la juxtaposition des riches et des pauvres dans un cadre, un environnement romantique et professionnel à la fois.

 

The Omen du français Damien ou la malédiction I, II,III (la morale derrière la trilogie )

 

 

                            

Le film explore les liens mystiques entre le mal, le monde animal et humain. Le démon habite le chien de Damien pour inciter l’homme politique de haut profil à se suicider, afin que Damien puisse être nommé au même poste de responsabilité diplomatique pour commencer à asseoir son règne démoniaque.

 

La trilogie de Damien ou la Malédiction I, II, III remet en question la vulnérabilité des dirigeants politiques aux desseins sataniques.

 

Faits utiles sur la trilogie de Damien ou la Malédiction I, II, III

 

 

Basé sur un scénario du scénariste américain David Seltzer qui a transcrit le film dans un livre sorti en 1976, quelques semaines avant la sortie du film.

 

Qu’est-ce qui fait de la trilogie de Damien ou la Malédiction I, II, III un film classique ?

 

La trilogie présente des scènes emblématiques et cruciales, telles que : une séquence obsédante, considérée comme la meilleure scène de cimetière des films d’horreur de tous les temps. Le film s’impose comme un classique d’une puissance durable, avec ses constructions hautement professionnelles et ses performances solides.

 

La partie effrayante dans Damien ou la Malédiction I, II, III.

 

Toutes les scènes de la catégorie Violence/Gore sont très intenses et extrêmement troublantes. La bande-son est très effrayante : présage le malheur et donne la peur au ventre. Dans l’ensemble, le film dégage une atmosphère troublante et effrayante, qui rappelle une catastrophe, de mauvais événements et un destin manipulé par des forces occultes qui dépasse l’entendement humain.

 

Damien ou la Malédiction I, II, III.

 

Damien Thorn est un personnage fictif et le principal antagoniste de la franchise The Omen. Il est l’Antéchrist et le fils du Diable. Le personnage a été interprété par Harvey Spencer Stephens, Jonathan Scott-Taylor, Sam Neill, Seamus Davey-Fitzpatrick et Bradley James.

 

Ce film d’horreur peut également être considéré comme une source d’inspiration pour les futurs réalisateurs dans la création de leurs films d’horreur, car l’élément de peur non conventionnelle installe plus de peur que les films d’horreur conventionnels.

 

Avec les effets spéciaux et les couleurs, l’absence de stéréotypes d’horreur, tout en y maintenant la normalité, donne plus de frissons au public. De la musique inquiétante, annonciatrice de malheur en passant par l’absence d’effets spéciaux à la sincérité et au naturel de certains personnages maintient le suspense dans le film.

 

La naïveté des personnages face au mal, à la série d’évènements paranormaux signes prémonitoires des décès et échecs diaboliquement provoqués, se traduisent à travers l’écran. Ces évènements paranormaux   révèlent et font croire au public, que les humains ne sont pas les seuls habitants de la terre.

 

Une autre réflexion qui suscite une perception supplémentaire dans la trilogie de la Malédiction est que tous les succès des humains ne se concrétisent pas naturellement : il y a souvent des talents cachés sous une enveloppe démoniaque, et dépeints comme du génie.

 

 

 American Gangster du Français, le Gangster Américain

 

 

Basé sur la carrière criminelle de Frank Lucas, un gangster de La Grange, en Caroline du Nord.

 

Il est un trafiquant d’héroïne qui a introduit des centaines de kilos d’héroïne pure aux États-Unis d’Amérique qu’il revend à bas prix dans les rues de New York.

 

Frank Lucas, trafiquait l’héroïne par le biais des avions de service américains revenant de la guerre du Vietnam, avant d’être arrêté par un groupe de détectives dirigé par le détective Richie de Newark.

 

Denzel Washington, lauréat d’un Oscar, qui a joué de nombreux personnages réels au cours de sa carrière, est représenté dans le film sous le nom de Frank Lucas.

Dans la vraie vie, Frank Lucas était autrefois un gangster très ingénieux :   un gangster au sens aigu des affaires et d’une extrême prudence. Pour rester discret et garder le profil bas, il avait intégré ses frères et cousins dans ses affaires comme auxiliaires.

 

Début des années 1970, New York. Frank Lucas habile, réussi à prendre le contrôle du trafic de drogue dans le nord-est des États-Unis dans les années 60 et 70. Son règne commença à Harlem et il continua à étendre son pouvoir dans toute la région nord-est du pays. La légende vivante du cinéma M. Denzel a donné vie à Frank Lucas.

 

American Gangster illustre les épreuves de la guerre, de la guerre contre la drogue, de la consommation de la drogue et de ses effets secondaires. De l’explosion des profits pécuniaires venant du trafique de la cocaïne, de la discrimination raciale qui conduit au ressentiment et à la révolte.

 

Le film illustre le choc des idéaux d’un personnage d’un côté, considéré comme un baron criminel de la drogue et de l’autre, un homme perçu comme un mari attentionné, généreux et aimant, un fils, un frère aimant et prospère,  et un homme qui a aidé sa communauté à confronter   les vicissitudes  raciales.

Malgré ce qui pourrait être considéré comme sa chute tragique, American Gangster a exploré son ascension vers la gloire et dans sa communauté, dans le monde des célébrités, ils l’ont promu au titre de roi.

 

Qu’est-ce qui fait d’American Gangster un film classique ?

 

 

Le film illustre le choc des idéaux d’un personnage d’un côté, considéré comme un baron criminel de la drogue et de l’autre, étant perçu et célébré comme un fils prospère et aimant, pour sa mère.

 

Il a réussi à offrir à sa mère, la chambre de ses rêves entièrement rénovée et richement meublée dans une grande maison de rêve. 

 

Elle est stupéfaite : seul l’amour d’un fils pour sa mère peut lui faire se rappeler ses préférences et choix à elle lorsqu’il n’était qu’un enfant.

 

Un frère aimant et prospère et un homme qui aidait une communauté confrontée aux rigueurs de la ségrégation raciale étaient un message clair et fort selon lequel un homme de sa race pouvait réussir aux yeux de la loi ou aux yeux des individus de race caucasienne, en dépit de ce qui pouvait lui arriver ou être considéré comme sa chute tragique.

 

Considéré comme une dichotomie entre deux mondes, American Gangster représente un homme brisant deux mondes : de race, de classe sociale et de réussite.

 

The Bridge Magazine félicite vivement les stars du cinéma classique, les scénaristes, les maquilleurs et les pionniers du 7ème art, pour le travail merveilleux qu’ils ont accompli et continuent d’accomplir, qui profite énormément à l’histoire  culturelle et à la sensibilisation de l’humanité.

Vive les films classiques !

 

Dans la continuité de la célébration du 12e Anniversaire de The Bridge Magazine et de la mise à jour de la publication de la série des livres The Bridge Books ; Rachel Tcheungna annonce le total de la série de ses livres publiés à 23 livres éducatifs, en versions anglaise et française désormais disponibles pour une distribution mondiale.

 

 

Suivez les liens ci-dessous pour vous procurer un ou plusieurs livres de la série The Bridge books. 

 

 

 

1)  De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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2) Beauté, Santé et Bien être De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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3) Éducation De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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4) Amour et relation De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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5) Crimes réels et prévention De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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6) Économie et investissement De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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7) Des Nouvelles ‘Soft & Hard’ De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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8)     Contes et légendes aux dénouements atypiques. De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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9) High-Profile People_ Version Française De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

https://www.lulu.com/en/gb/shop/rachel-tcheungna/high-profile-people_-version-française-de-lactualité-mondiale-intemporelle-the-bridge-magazine-book-des-nouvelles-brûlantes-britanniques-aux-exclusivités-mondiales-qui-ne-se-fanent-jamais/paperback/product-75k544.html?page=1&pageSize=4

 

 

10)  Arts et culture De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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11)  Politique Mondiale De l’Actualité Mondiale Intemporelle : The Bridge Magazine Book – des Nouvelles Brûlantes Britanniques aux Exclusivités Mondiales qui ne se fanent jamais.

 

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Rachel Tcheungna: Auteure, 

Ecrivaine de The Bridge Books et

Editrice de The Bridge Magazine